
« Cell to Cell » by microbiologists Mehmet Berkmen and Maria Peñil from Massachusetts won the « People’s Choice » award in the American Society of Microbiology’s 2015 Agar Art Contest.
Wikimedia Commons
Ce n’est pas une nouveauté, mais le phénomène se développe.
Il y a plusieurs années les Sonnets de Shakespeare avaient été stockés dans de l’ADN. Le National Geographic parmi d’autres avait rapporté l’affaire.
L’intérêt économique n’est pas encore clair parce que la capacité de stockage numérique sur le marché; ordinateurs, tablettes et portables suffit largement. Mais il suffit d’un mode applicatif nouveau et les choses peuvent débouler.
Le biohacking s’active aussi. Certains artistes utilisent des bactéries pour écrire, ce qui reste très embryonnaire, on parle au mieux de quelques mots. D’autres s’en servent pour peindre et là les résultats peuvent être surprenants.
Vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’une bactérie aussi peut servir de bibliothèque.
Un reportage intéressant de Chemistry’s World ici :
https://www.chemistryworld.com/news/living-bacteria-write-pictures-and-movies-to-dna/3007701.article
Le Huffington Post canadien a publié un reportage sur la pe9nture avec des batéries et les images valent le coup d’œil :