
Le magazine Forbes rapportait fin juin ce jugement de la cour suprême du Texas aux États-Unis : bien que Facebook ne puisse être tenu responsable des propos tenus sur sa plateforme, l’entreprise peut être poursuivie pour les activités criminelles auxquelles se livrent les prédateurs sexuels qui y sévissent.
Et Facebook devra prochainement faire face à plusieurs de ces poursuites par des victimes. Aux États-Unis, les montants des poursuites peuvent avoir des conséquences financières sérieuses même pour des titans du 2.0 comme Facebook.
Évidemment, ce jugement sera porté devant la cour suprême du pays, mais c’est peut-être un premier pas pour mettre fin au règne du laissez-faire et amener les pays à contrôler les aspects toxiques des réseaux sociaux.