
Cette poursuite selon cet article de Politico, devrait être déposée d’ici un mois et avance que les médias sociaux sont un produit qui nuit à la santé mentale, causant notamment anxiété et dépression. Si le dépôt de la poursuite est accepté en l’état, cela signifierait que les entreprises du 2.0 peuvent être tenues responsables du fait que le design de leurs algorithmes crée l’accoutumance et a des répercussions néfastes sur la santé. Les effets éventuels d’une telle poursuite pourraient être séismiques.